Nominations

GA Smart Building vient de nommer David Bruchon au poste de directeur ingénierie, un rôle stratégique au sein du groupe spécialisé dans la construction hors-site. En intégrant le comité de direction, il prend la responsabilité d’un pôle névralgique qui regroupe plusieurs expertises clés : innovation, digitalisation et performance environnementale. Ces domaines sont au cœur du modèle industriel et technique de GA, pionnier français de la construction industrialisée.

La feuille de route du nouveau directeur s’articule autour de plusieurs entités majeures du groupe. Il prend ainsi la tête de l’équipe Recherche & Développement, à laquelle GA consacre plus de 2 millions d’euros chaque année pour faire émerger des solutions constructives innovantes, durables et adaptées aux enjeux du secteur.

David Bruchon dirigera également le bureau d’études intégré Omega, reconnu pour son savoir-faire de plus de 50 ans dans l’accompagnement technique de projets conçus et réalisés en hors-site. Ce bureau maîtrise parfaitement le BIM (Building Information Modeling), un levier fondamental pour GA Smart Building. Depuis plus d’une décennie, le BIM y est systématiquement utilisé pour modéliser les opérations de construction, permettant ainsi une coordination optimisée des équipes, une précision accrue dès les phases de conception et une réduction significative des délais comme des coûts d’exécution.

Cette approche digitale permet aussi de prolonger la performance des bâtiments sur le long terme grâce à une gestion technique et une maintenance prédictive renforcées. À travers cette maîtrise, GA consolide son positionnement comme acteur de référence en matière d’ingénierie intelligente.

Le périmètre d’action de David Bruchon inclut aussi le Service Énergie Environnement. Ce département veille à la performance environnementale des projets portés par le groupe et à l’alignement de ses opérations avec la trajectoire climat, validée par l’initiative internationale Science Based Targets (SBTi). Cette stratégie climat s’inscrit dans l’ambition globale du groupe de bâtir des villes durables, bas carbone et à fort impact positif.

Le président de GA Smart Building, Sébastien Matty, salue cette arrivée comme une nouvelle étape structurante pour le groupe : « je souhaite la bienvenue à David Bruchon. Le hors-site représente l’avenir de la construction et de la rénovation. Je suis convaincu que l’expertise reconnue de David dans l’ingénierie bois et bas carbone, sa capacité à mener des projets complexes et innovants, ainsi que sa vision stratégique nous permettront d’accélérer encore davantage la nécessaire transition de notre secteur, notamment grâce à la consolidation des expertises clés du pôle Ingénierie. »

Diplômé de l’École Nationale Supérieure des Technologies et Industries du Bois (ENSTIB), David Bruchon bénéficie d’un parcours professionnel solidement ancré dans les domaines de la construction et de la promotion immobilière. Il débute sa carrière chez Sylva Conseil, cabinet spécialisé dans l’ingénierie bois, avant de diriger le pôle Ingénierie bois chez TERRELL. En 2017, il rejoint Icade Promotion, où il exerce plusieurs fonctions à responsabilité : d’abord comme Responsable de la filière sèche, puis comme Directeur Technique National et RSE. C’est fort de cette double expérience technique et stratégique qu’il rejoint aujourd’hui GA Smart Building.

David Bruchon exprime son enthousiasme à l’idée de contribuer au projet collectif du groupe : « je suis ravi de rejoindre GA Smart Building, reconnu pour son excellence technique et son engagement bas carbone dans l'immobilier et la construction. Je suis impatient de contribuer activement à la stratégie durable du Groupe, notamment en renforçant les services essentiels de la plateforme hors-site et en développant des solutions innovantes répondant aux défis environnementaux et sociétaux actuels. »

À Balma, le 20 mai 2025, la Banque Populaire Occitane a annoncé une refonte stratégique de son comité de direction. Ce renouvellement, articulé autour de nominations externes et d’évolutions internes, marque une volonté claire de renforcer la structuration de l’organisation pour répondre aux nouveaux enjeux économiques et territoriaux. L’objectif : déployer une gouvernance agile, en phase avec les transformations du secteur bancaire, tout en réaffirmant l’ancrage régional de la banque coopérative.

Parmi les nouveaux visages appelés à piloter l’avenir de l’établissement, Marie-Pia Couquet prend la direction du Réseau Entreprises et Banque Privée. Diplômée d’un Master Banque Assurance à Toulouse, elle dispose de plus de 25 ans d’expérience au sein du Groupe BPCE. Après un passage par la BRED à La Réunion, elle a enrichi son parcours dans la gestion de centres d’affaires avant de revenir à la Banque Populaire Occitane en 2021. Dans un contexte de mutations économiques, elle sera chargée de renforcer les liens avec les entreprises régionales et les clients privés à forte valeur.

Autre arrivée notable, celle de Laurent Vayssettes à la tête des Crédits et du Contentieux. Présent dans les rangs de la Banque Populaire Occitane depuis 1998, il a évolué au sein du réseau commercial toulousain, supervisant plusieurs groupes d’agences. Sa connaissance fine du terrain constitue un levier essentiel pour piloter l’activité crédit dans une approche tournée vers les réalités économiques régionales.

Enfin, Éric Lacour accède à la direction de l’Audit. Basé à Albi, il encadrera une équipe de treize collaborateurs. Ancien élève de l’Institut d’Études Politiques de Toulouse et expert-comptable, il possède une solide expérience dans le domaine du contrôle interne et de la gestion des risques. Après un parcours dans plusieurs cabinets d’audit à Paris et Toulouse, il a intégré la Banque Populaire Occitane en 2008, y occupant successivement des fonctions clés en comptabilité et en maîtrise des risques.

Le remaniement du comité de direction s’accompagne également de promotions internes, reflétant une volonté de continuité et de valorisation des talents. Caroline Tourrel prend la tête des Ressources Humaines et de l’Informatique, deux domaines au cœur de la transformation numérique et managériale de la banque. Nathalie Versigny hérite d’un périmètre élargi incluant les finances, le secrétariat général, les affaires juridiques et la responsabilité sociétale des entreprises. Quant à Marie-Cécile Cholet, elle devient Directrice des Risques et de la Conformité, poste stratégique à l’heure où les exigences réglementaires s’intensifient.

Banque coopérative par essence, la Banque Populaire Occitane revendique un ancrage solide dans le tissu économique régional. Elle accompagne plus de 613 000 clients – particuliers, professionnels, agriculteurs et entrepreneurs – et compte près de 200 000 sociétaires. Présente dans huit départements (Aveyron, Gers, Haute-Garonne, Hautes-Pyrénées, Lot, Lot-et-Garonne, Tarn, Tarn-et-Garonne), elle s’appuie sur un réseau dense de 196 agences et de plusieurs pôles spécialisés, allant des centres d’affaires à la Banque Privée en passant par des structures dédiées à l’agriculture ou à l’accompagnement des entreprises en croissance.

Cette recomposition du comité de direction s’inscrit dans la continuité de la mission que s’est fixée la Banque Populaire Occitane : réinvestir sur les territoires les ressources collectées localement, en accompagnant les acteurs économiques à chaque étape de leur développement. Dans un environnement en perpétuelle mutation, la nouvelle gouvernance entend jouer un rôle moteur au service de l’économie réelle, dans un esprit de proximité, de responsabilité et d’innovation.

RSM France, 6ᵉ réseau mondial d’audit, de conseil et d’expertise-comptable, nomme Luc Petiteau responsable de région pour RSM Méditerranée. À la tête des équipes de Montpellier et Nîmes, qui rassemblent 210 collaborateurs, il aura pour mission de consolider la position du groupe sur un territoire à fort potentiel.

Le cabinet, implanté en Méditerranée depuis 1945, accompagne de nombreux secteurs : santé, digital, immobilier, énergies renouvelables, professions libérales. Il s’est notamment structuré autour de deux priorités : la facture électronique, avec une équipe dédiée, et l’accompagnement à la cession et l’acquisition d’entreprises.

Expert-comptable et associé depuis 2009, Luc Petiteau a d’abord travaillé dans le secteur bancaire puis dans la direction financière d’un groupe en croissance, avant de se spécialiser dans le conseil social, la paie et les ressources humaines. Il a depuis piloté le développement du pôle social de RSM France et accompagné de nombreuses entreprises dans la gestion administrative et stratégique de leurs ressources humaines.

Sa nomination vise à prolonger l’engagement de RSM sur le terrain, au plus près des dirigeants, avec une offre de conseil personnalisée, fiable et adaptée aux enjeux actuels.

Patricia Granat vient d’être élue à la tête de Cerfrance Région Occitanie, structure fédérant les sept Associations de Gestion et de Comptabilité (AGC) du réseau Cerfrance dans les treize départements de la région. Implanté au plus près du tissu entrepreneurial, ce réseau regroupe 1 500 salariés dans 110 agences et accompagne des adhérents issus de tous les secteurs d’activité.

Diplômée de l’École de Purpan à Toulouse, Patricia Granat a démarré sa carrière au Cameroun avant de rejoindre la Chambre d’agriculture des Pyrénées-Atlantiques. Depuis 1997, elle codirige avec sa sœur une exploitation agricole sur le Causse Méjean, en Lozère, combinant élevage, transformation et vente en circuit court. Elle préside Cerfrance Lozère depuis 2015.

Son nouveau mandat régional s’inscrit dans une volonté de mutualisation accrue, d’accompagnement renforcé des adhérents et d’animation économique des territoires. La transformation numérique, la généralisation de la facture électronique et le développement de la formation sont au cœur des priorités. L’objectif est clair : apporter des conseils toujours plus adaptés dans un contexte économique incertain.

Cerfrance Région Occitanie joue également un rôle de veille et d’analyse via son baromètre annuel Agri’scopie, co-produit avec les Chambres d’agriculture. À travers cette nomination, Patricia Granat incarne la volonté de faire rayonner l’expertise Cerfrance et de nourrir un lien de confiance durable avec les acteurs économiques locaux.

Le 17 et 18 avril derniers, le Conseil régional de l’Ordre des géomètres-experts de Toulouse a organisé son assemblée générale au stade Ernest-Wallon, un moment crucial pour la profession. Ce rassemblement a réuni 114 géomètres-experts issus de divers départements, notamment de l'Ariège, l'Aveyron, la Haute-Garonne, du Gers, du Lot, des Hautes-Pyrénées, du Tarn et du Tarn-et-Garonne. L'objectif principal de cette rencontre était d’élire le nouveau bureau régional qui assurera la représentation de la profession jusqu'en 2027. C’est ainsi qu’Éric Marguinal, géomètre-expert à Bagnères-de-Bigorre, a été élu à la présidence de ce Conseil régional.

Jean-Luc Moudenc, maire de Toulouse et président de Toulouse Métropole, était également présent lors de cette Assemblée. Il a profité de l’occasion pour échanger avec les professionnels sur les enjeux et défis liés à la sobriété foncière, un sujet d'actualité dans l'urbanisme et l'aménagement des territoires. Lors de son intervention sur le thème « Gérer les paradoxes de l'aménagement et de l'urbanisme », il a souligné l’importance d’adopter des principes de développement plus vertueux et durables tout en répondant aux besoins de la croissance démographique.

Le rôle des géomètres-experts a été mis en avant à travers la présentation d’outils mis en place lors des Assises Nationales de la Sobriété Foncière, organisées l’année dernière. Ces assises ont réuni divers acteurs, dont des chercheurs, des élus et des représentants d’institutions publiques et privées, débouchant sur 17 propositions visant à concilier développement urbain et respect des objectifs environnementaux. Christian Rouaix, président sortant du Conseil régional, a rappelé que la mise en œuvre de ces objectifs devrait être adaptée à chaque territoire, en fonction de ses spécificités.

Les débats ont également porté sur la gestion de l’étalement urbain et les moyens de reconstruire la ville sur la ville. La Ville rose, en particulier, fait face à un triple défi : accueillir une population croissante tout en préservant la qualité de vie et en respectant les objectifs de sobriété foncière. Jean-Luc Moudenc a précisé qu’une des solutions résidait dans la densification urbaine, à condition de maintenir une qualité architecturale et de proposer des espaces verts, qui se sont accrus de 10% depuis 2014. Il a également évoqué le programme « 100 000 arbres », qui a permis de planter 75 000 arbres à Toulouse, contribuant ainsi à la création de nouveaux îlots de fraîcheur dans la ville.

Les géomètres-experts, qui apportent leur expertise en matière d’aménagement du territoire, ont participé activement à cette réflexion. Ils ont souligné les résultats d’un sondage mené en collaboration avec l'institut Opinionway sur la perception de la sobriété foncière par les Français. Ce sondage a révélé un soutien large pour la lutte contre l’étalement urbain, bien que les Français soient partagés quant à l’implantation de nouvelles constructions près de leur domicile.

Afin de sensibiliser et former les acteurs du secteur, un programme de formation a été lancé. Ce programme a pour objectif de former l'ensemble des acteurs publics et privés du domaine de l'aménagement urbain et du cadre de vie, en leur offrant une première compréhension des enjeux de la sobriété foncière, avant de les guider vers des solutions concrètes. Séverine Vernet, Présidente du Conseil supérieur de l’Ordre des géomètres-experts, a salué cette initiative, la qualifiant de première du genre à aborder la sobriété foncière dans sa globalité.

Le rôle des géomètres-experts est ainsi plus que jamais crucial pour accompagner les collectivités dans l’application des principes de développement durable tout en répondant aux défis de l’urbanisation croissante. La présidence d’Éric Marguinal marque une nouvelle étape dans cette dynamique, plaçant l’expertise au service d’un aménagement plus raisonné et respectueux des enjeux environnementaux.

La start-up française Wheere, spécialisée dans la géolocalisation indoor, franchit un cap stratégique avec la nomination de Kevin Rutankabandi au poste de Space Program Manager. Ce recrutement marque le lancement officiel du programme spatial ambitieux de l'entreprise, une étape décisive dans son objectif de révolutionner la géolocalisation à l'échelle mondiale.

Fondée en 2020, Wheere se distingue par son approche novatrice visant à surmonter les limites de la géolocalisation à l'intérieur des bâtiments, un défi technologique jusque-là non résolu. Avec l'arrivée de Kevin Rutankabandi, la start-up poursuit sa vision : rendre la géolocalisation indoor aussi omniprésente et accessible que le GPS.

Kevin Rutankabandi est un ingénieur double diplômé de la Faculté Polytechnique de Mons et de l'ISAE-SUPAERO, avec plus de huit ans d'expérience dans l'industrie spatiale. Avant de rejoindre Wheere, il a occupé un rôle central chez Thales Alenia Space, où il a contribué de manière significative au développement et à l’amélioration du système européen Galileo. Son expertise couvre l'ensemble du cycle de vie des programmes spatiaux, de l’identification des besoins opérationnels à l’évolution des systèmes complexes.

Le programme spatial que Kevin Rutankabandi pilotera chez Wheere se divise en trois grandes phases. La première, prévue pour le quatrième trimestre de 2026, consistera en un lancement d’un satellite destiné à tester la technologie de la start-up en orbite. Ce premier pas permettra d’étudier l'impact de l'ionosphère sur les signaux basse fréquence utilisés pour la géolocalisation indoor. La deuxième phase, fixée à 2028, verra la mise en orbite de cinq satellites pour démontrer la faisabilité du calcul de position indoor grâce aux signaux spatiaux. Enfin, la troisième phase, à l'horizon 2030, prévoit le déploiement d'une constellation de 300 micro-satellites qui permettront de mettre en place un service mondial de géolocalisation indoor, accessible depuis n’importe quel endroit sur Terre.

Pour mener à bien cette ambitieuse feuille de route, Kevin Rutankabandi constituera une équipe dédiée, composée de cinq ingénieurs aux profils complémentaires, incluant des experts en radiofréquence, en firmware, en tests d’intégration et en développement de plateformes.

Dans ses déclarations, Kevin Rutankabandi souligne que son expérience avec le programme Galileo fut « passionnante », mais que l’ambition de Wheere va bien plus loin. L’objectif est désormais de prendre une avance décisive en matière de géolocalisation indoor, non plus en réagissant à un retard technologique, mais en plaçant la France et l’Europe à la pointe de l'innovation. L'approche de Wheere offre ainsi une opportunité stratégique exceptionnelle de révolutionner le secteur de la géolocalisation mondiale.

Cette nomination s'inscrit dans la volonté de Wheere de devenir le leader mondial de la localisation indoor en combinant innovation de rupture et souveraineté technologique, avec une solution de géolocalisation par satellite qui permet de traverser 50 mètres de murs en béton. Un défi ambitieux, mais essentiel pour garantir une couverture de la totalité d’un site avec seulement quatre émetteurs.

La nomination de Kevin Rutankabandi confirme l’ambition de Wheere de dépasser les frontières traditionnelles de la géolocalisation. Si le GPS a transformé la navigation extérieure, la géolocalisation intérieure n'a pas encore trouvé sa solution universelle. Wheere se positionne désormais comme un pionnier en la matière, avec un programme spatial audacieux qui vise à faire de la géolocalisation indoor un service mondial, accessible à tous, partout dans le monde.

Les Laboratoires Pierre Fabre ont récemment annoncé l'arrivée de Marie-Andrée Gamache en tant que nouvelle directrice générale de la division Pierre Fabre Medical Care. À ce poste stratégique, elle intègre également le comité de direction du groupe et travaillera sous la supervision d'Eric Ducournau, le directeur général des Laboratoires Pierre Fabre.

Originaire du Canada, Marie-Andrée Gamache possède plus de 25 ans d'expérience dans l'industrie pharmaceutique, ayant travaillé dans divers postes de leadership à l’échelle mondiale. Son parcours professionnel s'est construit à travers des responsabilités exercées en Europe, en Amérique du Nord, en Asie, au Moyen-Orient et en Afrique, dans des domaines allant de la gestion stratégique à la supervision des résultats financiers.

Avant de rejoindre Pierre Fabre, elle a dirigé Novartis en tant que PDG pour le Royaume-Uni et l'Irlande, après avoir occupé des postes de responsabilité dans la branche Oncologie de Novartis pour le Moyen-Orient et l'Afrique. Elle a également exercé des fonctions dirigeantes chez Merck KGAA en Belgique et en Afrique subsaharienne.

À la tête de Pierre Fabre Medical Care, Marie-Andrée Gamache aura pour mission de maintenir la croissance continue dans les secteurs clés de l’oncologie, de la dermatologie, des maladies chroniques et de la santé familiale. Elle concentrera ses efforts sur l’élargissement de l’offre en oncologie, le développement de nouveaux marchés, ainsi que l’optimisation des performances des autres segments du portefeuille. Sa vision stratégique inclut également la supervision du développement du pipeline de recherche et développement, notamment en oncologie de précision, dermatologie médicale et dans les traitements des maladies rares.

Eric Ducournau a souligné l'importance de cette nomination. "Nous sommes ravis d'accueillir Marie-Andrée, dont l’expérience internationale, notamment en oncologie, représente un véritable levier pour faire progresser nos activités Medical Care", a-t-il commenté.

Pour sa part, Marie-Andrée Gamache a exprimé son enthousiasme à l’idée de rejoindre Pierre Fabre. Elle a indiqué : "rejoindre une équipe aussi dynamique et participer à l’essor de l'innovation médicale tout en facilitant l'accès aux traitements pour les patients à travers le monde est un objectif qui résonne profondément avec mes valeurs."

La CPME Haute-Garonne annonce l'élection de son nouveau président, Nicolas Durand. Ce dernier prend ses fonctions avec une feuille de route ambitieuse, structurée autour de trois grands axes : l'innovation pour soutenir les entreprises, la défense des entrepreneurs et le renforcement des mandats patronaux.

Nicolas Durand place l'innovation au cœur de son mandat. En réponse aux défis économiques, technologiques et environnementaux, il entend mettre en place des outils concrets pour accompagner les entreprises. Parmi les premières initiatives, il a annoncé le lancement d'une plateforme d'assistance juridique en partenariat avec une LegalTech de premier plan. Ce service, offert gratuitement aux adhérents, vise à simplifier la gestion des questions juridiques et administratives des entrepreneurs. De plus, une nouvelle vice-présidence dédiée aux transitions durables et numériques a été instaurée pour répondre aux enjeux écologiques et technologiques, tout en soutenant la souveraineté des entreprises locales.

La CPME 31, forte de ses 1500 adhérents, poursuit son engagement pour représenter et défendre les entrepreneurs. Nicolas Durand a annoncé un renforcement du maillage territorial, avec un accent particulier sur les entreprises éloignées de la Métropole toulousaine. Une nouvelle initiative, la "cotisation territoire", permettra de réduire les cotisations pour les acteurs locaux, tout en favorisant la coopération entre le monde économique et les pouvoirs publics pour soutenir l’entrepreneuriat.

Sous la présidence de Nicolas Durand, la CPME 31 entend valoriser le rôle des mandats patronaux, trop souvent méconnus. La CPME est actuellement en charge de 250 mandats dans diverses institutions, ce qui lui confère une force de représentation unique. Le nouveau président souhaite faire mieux connaître ces mandats et les mettre au service des entreprises du territoire pour défendre leurs intérêts face aux défis législatifs et réglementaires.

Entrepreneur engagé, Nicolas Durand a cofondé PANOSOL en 2006, une entreprise leader dans le domaine des systèmes solaires, rachetée par ENGIE. Par la suite, il a créé Cozynergy en 2013, spécialisée dans la rénovation énergétique des logements. Son expérience d'entrepreneur et de Business Angel, ainsi que son engagement dans des associations comme le Réseau Entreprendre et le CJD, ont renforcé sa volonté de défendre et soutenir les entreprises.