Avec ses petites truites élevées localement, en bio, et cuisinées dans son nouveau laboratoire, La Truitelle gagne du terrain. Après les boutiques bio et les épiceries fines, la jeune marque audoise vient de signer avec la grande distribution. Son développement passera par une augmentation des volumes de production, la sortie de nouveaux produits et des embauches. La Truitelle est actuellement en quête d’investisseurs.
François Isambert, dirigeant de La Truitelle.
Deux ans après sa création, La Truitelle se fait déjà remarquer. Ce créateur de conserves de petites truites élevées en bio et localement a raflé des prix et trophées notables aux grands rendez-vous nationaux de l’agroalimentaire, comme le Siane en octobre dernier à Paris. C’est surtout sur le plan commercial que La Truitelle affiche une belle percée en un temps record : la marque est déjà repérée par les grands de la GMS avec un premier accord signé avec Carrefour Market en région parisienne et en Occitanie (une soixantaine de magasins pour démarrer). La Truitelle vend aujourd’hui à 200 magasins indépendants : épiceries fines, boutiques bio (une quinzaine de Biocoop aujourd’hui), etc. Naturalia et son réseau de distribution national fait aussi partie de ses relais commerciaux.
Une alternative à la surpêche
A la tête de l’entreprise, François Isambert défend un produit 100 % bio et dont le process de culture est une réponse aux enjeux climatiques actuels : « La Truitelle est une alternative à la surpêche des poissons traditionnellement utilisés dans la conserverie de poissons (...)
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